Inconstestablement un des plus médiatisés mais surtout, un des plus attendus, ‘Cloud Nine’, le tout premier album de Kygo sort aujourd’hui ! En 15 tracks, voici l’histoire de ce jeune pianiste norvégien devenu une icone pour beaucoup en un temps record, notamment grâce à une qualité de production devenue sa signature au fil des releases. De ‘Firestone’ à ‘Raging’, des grands classiques aux futurs tubes planétaires, découvrons ensemble cet album placé sous le signe d’une notoriété certaine et plus que phénoménale.
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Si l’on peut se permettre de le présenter comme un virtuose, Kygo nous accueille sur une « Intro » bien représentative de son talent au piano. Ce n’est ni plus ni moins qu’un de ses ‘Jams’ qu’il a prit habitude de nous partager sur sa page Soundcloud et qu’on se le dise, le ton est de suite lancé !
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Un des plus gros titres de cet album reste sans conteste « Stole The Show » en collaboration avec l’américain Parson James. Ayant fêté ses 1 an très récemment, ce morceau aura grandement contribué à l’explosion très rapide du norvégien à l’échelle mondiale. Via un ensemble piano/cuivre mais surtout une flûte line devenue légendaire, le vocal ne fait que confirmer l’énorme potentiel de cette track.
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Destinée, comme l’intégralité de cet album, à devenir un carton, « Fiction » est une suite logique à l’empreinte de Kygo. En effet, en collaboration avec le jeune chanteur anglais Tom Odell, nous retrouvons des sonorités propres au producteur mais ça ne l’empêche pas de placer la barre un cran au-dessus. Effectivement, il suffit de se pencher sur le drop pour se rendre compte d’une excellente partie de piano, véritable témoin du talent de ce dernier.
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Sixième extrait de son album, « Raging » a su beaucoup faire parler de lui. En effet, sur cette production composée avec le groupe irlandais Kodaline, le ton est donné dès le début de la preview. La guitare et le vocal très quali s’assemblent à merveille avec un beat typique Kygo. Puis, après un build-up reprenant le mainsynth, lui aussi propre au Norvégien, le drop balance une vibe extrêmement fraîche et puissante.
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Plus gros succès de la carrière du norvégien, « Firestone » reste le titre n°1 des charts. Inévitablement présent sur cet album, il ne fera que renforcer la notoriété de ce dernier. Qui ne connait pas ce vocal devenu mythique de l’australien Conrad Sewell ?
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Premiered à l’Ultra Miami 2016, « Happy Birthday » présente une remarquable association entre Kygo et le très réputé John Legend. Forte d’un instru, ici aussi, très très qualitatif, elle se promet à un avenir plutôt impressionnant.
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Kygo annonçait sur sa page « « I’m In Love » sera mon dernier single avant la sortie complète de l’album le 13 mai », et il a franchement su nous faire saliver. Encore une fois, le vocal et la piano line lancent un break des plus sublimes puis, presque sans transition, le kick et la légère bassline viennent renforcer l’ensemble et accusent l’entrée dans le drop, pourvu d’une intensité très respectable grâce notamment au soutien d’un violon.
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Véritable pépite de l’album, « Oasis », en collaboration avec la chanteuse Foxes joue le jeu d’un assemblage très persuasif. En effet, l’ensemble beat et piano, servi à la sauce Kygo résonne comme un excellent support au vocal de l’anglaise.
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En collaboration avec l’anglais RHODES, « Not Alone » est à servir sur la plage, en plein couché de soleil entre potes. Sur un vocal très profond, l’instru se tourne plus sur une performance acoustique, et n’en déplaise à personne, c’est une véritable bombe.
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Dans une lignée plus proche de ‘Fragile’, « Serious » est basé sur une ambiance a mi chemin entre chill et deep house. Les sonorités sont tout de même très bien travaillées et arrivent à nous transporter assez loin.
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En France, c’est actuellement le carton des charts et des radios. « Stay », interprétée à la perfection par la chanteuse américaine Maty Noyes, annonce un été des plus frais avec de tels sons aux commandes. Kygo nous prouve ici aussi l’immense qualité de son travail et le soin qu’il apporte à la sélection des interprètes de cet album.
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Devenue partie intégrante de son parcours, « Nothing Left » n’a pas eu le succès de ses aînées et pour cause, malgré un vocal encore une fois très quali, l’instru reste tout de moins très épurée. Peut-être moins appréciée, on en retient tout de même une délicieuse track.
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Loin de son style deep synthétisé sur ordinateur, « Fragile » s’illustre comme une production en acoustique des plus délicieuse. Kygo, jouant la carte du pianiste par excellence, interprète une partie piano très mélodieuse et puissante. Puis, partie intégrante de l’ensemble, Labrinth nous présente un vocal soul forcément à la hauteur de l’instru.
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Largement diffusée depuis quelques semaines, et premiered, elle aussi à l’Ultra Miami en mars dernier, « Carry Me » fait partie des nombreux futurs tubes que propose Kygo. On y retrouve toujours la même structure et les mêmes sonorités que la plupart de ses prods mais la fraîcheur qu’apporte le vocal apporte un véritable plus.
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Concluons cette brève description sur une collaboration très douce, tournée vers une chill mêlant un très bon piano jam et un ensemble vocal des plus vibrants. « For What It’s Worth » a le grand privilège de refermer ce livre rempli d’histoires, toutes plus qualitatives les unes que les autres.
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En clair, si l’on peut émettre une conclusion, cet album s’annonce comme un des poids lourds du marché deep house et Kygo en profite pour largement confirmer sa place de leader dans sa catégorie. De 7 à 77 ans, son style très aérien et frais ravira bien plus que les fondus de musique électronique et saura se trouver une place de très grande qualité dans les bibliothèques musicales partout dans le monde. Pour Guettapen, que ce soit sur ses performances lives ou via ses tracks, Kygo ne fait que démarrer la machine et croyez-nous, ce n’est que le début.
Disponible sur iTunes
Tracklist :
- Intro
- Stole The Show (Feat. Parson James)
- Fiction (Feat. Tom Odell)
- Raging (Feat. Kodaline)
- Firestone (Feat. Conrad Sewell)
- Happy Birthday (Feat. John Legend)
- I’m In Love (Feat. James Vincent)
- Oasis (Feat. Foxes)
- Not Alone (Feat. RHODES)
- Serious (Feat. Matt Corby)
- Stay (Feat. Maty Noyes)
- Nothing Left (Feat. Will Heard)
- Fragile (Feat. Labrinth)
- Carry Me (Feat. Julia Michaels)
- For What It’s Worth (Feat. Angus & Julia Stone)
Taylor