Ohlala Festival, retour sur une journée de Bass Music à Paris

Le week-end dernier, l’équipe de OHLALA Productions était de retour au Kilowatt pour le Ohlala Festival. Les fans de Bass Music, habitués à leurs soirées comme Get In Step, Edge ou encore Composite se sont rassemblés. Ils ont pu naviguer à travers deux scènes présentant divers genres musicaux.

Pour l’occasion, 2500 festivaliers se sont réunis aux portes de Paris pour accueillir des artistes tels que Dirtyphonics, Delta Heavy, Hamdi, Flux Pavilion et Kanine. Entre Drum & Bass, Dubstep, UK Bass et d’autres styles hybrides, et ont pu se régaler tout au long de cette journée.

@lil.alien._

Un festival éclectique

Côté programmation, plus de 25 artistes se sont succédé pendant 11 heures de son, répartis sur 2 scènes. Ces artistes de renommée nationale et mondiale venaient des quatre coins du globe.

On a commencé la journée du côté de « La Clairière » avec Benessa, qui a livré un set plein d’énergie. Ensuite, direction « Le Chapiteau » avec Synergy, suivi par une performance enflammée de Hamdi, où les pogos se sont enchaînés. Pour sa première à Paris, l’artiste a rayonné avec le morceau « Counting » ou encore sa récente collaboration avec Skrillex, « Push« .

Par la suite, un B3B Drum & Bass nous attendait du côté de « La Clairière« . Huxx, Jynx et Midryaz, qui représentaient le collectif Phase, nous ont régalé. Puis, Flux Pavilion a pris le contrôle du « Chapiteau » et nous a offert un set dubstep comme on les aime. Bien sûr, il a joué ses classiques, y compris « I Can’t Stop » et la foule chantait à l’unisson.

Pour continuer sur cette lancée, on a été voir Ivory, venu remplacer Calcium suite à l’annulation de sa tournée européenne. On continue ensuite avec l’un des grands noms de la nouvelle vague des producteurs de Drum & Bass, Kanine.

Dirtyphonics a ensuite enflammé l’arène, offrant un début de set énergique mêlant Dubstep et Bass House. Le duo nous a comblé avec des titres comme « Molitor » ou leur collaboration avec l’américain Sullivan King, « Hammer« . La Drum and Bass a brillé pendant la deuxième partie de leur set. Les français ont montré leur expertise dans ce domaine depuis leurs débuts. Enfin, nous avons fini la soirée avec Code : Pendurum à « La Clairière » et Delta Heavy sous le « Chapiteau« .

Une expérience complète

Les scènes ont été animées par un spectacle visuel agréable, où jeux de lumières et lasers ont créé une atmosphère immersive. Des écrans affichaient les noms des artistes et le logo distinctif du Ohlala Festival, enrichissant l’expérience globale.

Le festival a proposé une variété d’activités tout au long de la journée, dans la lignée de l’édition précédente. Des performers sur échasses ont défilé, dansant et ajoutant à l’ambiance festive. De plus, les spectateurs ont pu assister à des spectacles, comme celui d’une cracheuse de feu et de danseurs sur scène manipulant des fumigènes et des effets pyrotechniques.

Dans la grande zone chill, les festivaliers ont pu apprécier les auto-tamponneuses et se faire maquiller au stand dédié. Ils ont également pu se restaurer grâce aux food trucks présents et se désaltérer aux deux bars disponibles.

Un grand merci aux équipes du Ohlala Festival et du Killowat pour avoir assuré le bon déroulement de l’événement et pour avoir créé une expérience inoubliable pour tous les participants.

Ohlala Festival de retour en 2025 ?

Il semblerait que oui ! Cette nouvelle devrait réjouir les fans de bass music. Ohlala Festival a laissé un petit message à tous ses fans dans sa biographie Instagram : « SEE YOU IN 2025 ». Alors, on vous dit : à l’année prochaine !

Passionnée, j’adore partager mes découvertes sur les nouvelles sorties et les actualités. Tu peux me retrouver sur tous les dancefloors parisiens !