L’Opium de Toulouse qui ferme, c’est un peu un bâtiment historique de la scène électronique en France qui s’effondre. Cette adresse de la ville rose a vu passer un nombre incalculable d’artistes de tout premier plan. A ses débuts, c’est l’un des premiers à faire mixer Avicii dans l’hexagone. Concrètement, l’Opium a réussi un tour de force en ayant très régulièrement des artistes du calibre de Dirty South (à l’époque au sommet de sa gloire), Don Diablo, Benny Benassi, Camelphat, Dombresky ou encore plus récemment Malaa.
Pour nous, c’est aussi une perte : nous avons été invités plusieurs fois à venir fêter l’anniversaire du blog à l’Opium. On pense aussi évidemment à Thomas Pasko, qui a été DJ résident durant de nombreuses années. Bref, c’est malheureusement une mauvaise nouvelle pour un club qui faisait pâlir d’envie tous ceux qui n’avaient alors pas le privilège de vivre à Toulouse. Une dernière soirée ‘Made in Opium’ aura lieu le 28 janvier prochain avant la baisse du rideau.