Récap : L’Opium Club de Toulouse fête ses 7 ans

Deux semaines après le Hope Festival, Toulouse accueillait à nouveau de nombreux artistes internationaux à l’occasion du 7ème anniversaire de l’Opium. Le célèbre club du centre ville nous a ainsi proposé une belle programmation musicale orientée Future House pendant deux jours. Nous y sommes passés, voici ce qu’on retient !

Vendredi

Après avoir démarré avec son titre “Make Me Feel”, Steff Da Campo nous a livré un set Future House par excellence, rythmé par quelques classiques tels que “Gangsta Paradise” de Coolio. C’était également l’occasion de découvrir ou redécouvrir son dernier titre intitulé “Deeper Love” sorti vendredi sur le label Hexagon.

Steffen a ensuite laissé la place non pas à Dannic comme cela avait été annoncé initialement, mais à Tony Junior ! Ce dernier a alors joué un set beaucoup plus Big Room. Veritable showman qui n’hésite pas exhiber ses tatouages en se mettant torse nu, il a principalement joué des bangers que l’on retrouve souvent en festival comme le célèbre “Show Me” de Tiestö. On retient un set énergique, idéal pour souffler les bougies du club Toulousain. Merci Tony !

Samedi

Le deuxième jour était quant à lui pleinement consacré à la Future House avec notamment aux platines Madison Mars, Mike Williams et le duo Français Raven & Kreyn. Le public était nombreux et le club avait fait appel à des danseuses pour marquer le coup.

Le public était partagé entre connaisseurs portant pour certains des t-shirt du label Hexagon, et novices qui dansaient essentiellement sur des titres joués en radio. Cela s’est d’ailleurs immédiatement fait ressentir lorsque Madison Mars a cedé sa place à Mike Williams. Ce dernier a joué un set beaucoup plus mainstream que le doyen, faisant sauter l’intégralité du club. La bonne surprise de la soirée fut le binôme Raven & Kreyn. Au même titre que Retrovision ou Siks, les deux jeunes frenchies font partis de ces nouveaux talents qui ont eu l’opportunité de signer cette année avec de gros labels du genre (Hexagon notamment). Ils n’ont pas hésité à profiter d’un slot plus tardif pour jouer quelques titres Bass House. Bravo les garçons !

Conclusion

L’Opium, fait parti de ces rares clubs Français à inviter toute l’année des grands noms de la scène électronique. Doté d’un nouveau système son et lumière, le club nous a une nouvelle fois fait passé un très bon moment. Merci à l’équipe pour leur accueil et vivement la prochaine !

TP